18.10.07

Dans "grève" il y a "rêve"...

Un rêve qui est un cauchemar pour les usagers forcés du service public monopolistique, tandis que les grévistes, eux, rêvent d'un monde idéal où ils seraient payés à ne rien faire et où ils pourraient conserver leurs privilèges.

Les usagers espèrent la fin de la grève, les grévistes la grève de la fin.

Pendant ce temps, syndicats et politiciens chéquards se redistribuent entre eux le butin du racket, les privilégiés élus se gobergent à l'Assemblée et comptent sur vous pour les faire vivre et de trop rares entrepreneurs entreprennent, sous les quolibets des gauchistes assistés et des belles-mères...

3 commentaires:

Alexis a dit...

Je me rappel de cette gravure dans un livre d'histoire au sujet de la Révolution Française...L'histoire se répète.

Philippe a dit...

très jolie image..

C'est tout à fait ca; un Etat qui confisque tout au profit d'un prétendu "intérêt général", qui in fine conduit à de nouveaux privilèges...

Mais c'est moi où (presque) tout va mal en France depuis, disons... la Révolution ?

BLOmiG a dit...

salut Laure,
merci pour le lien vers mon article.
J'espère que c'est effectivement les derniers sursauts d'un monde syndical décidemment bien en retard (du côté des patrons aussi, visiblement).
Le décompte des manifestants ne doit pas faire oublier le fond du problème qui est que ce combat est injuste, et sûrement pas soutenu par la population. On va enfin voir la réalité sur les syndicats de salariés : en plus d'être peu représentatifs, ils apparaitront comme peu populaire.